Welcome into hell, I'm Doraleen R. Wilcox
| Sujet: Visite matinale à la table des Poufsouffle (Libre) Dim 22 Avr - 15:39 | |
| Comment démarrer une journée catastrophe ? Peut-être en commençant par se lever du pied gauche. Si la meilleure réponse était celle-ci alors ma journée n’allait surement pas être des meilleures. Me cognant dans le pied du lit en allant chercher mes vêtements pour troquer mon pyjama contre une tenue plus chaude, je baillais alors aux corneilles. La pluie qui cognait sur les carreaux ne laissait rien présager de bon. J’étais ravie de ne pas avoir de cour sur les soins aux créatures magiques, j’aurai attrapé la mort avec un temps pareil. Je remontais bien le col de ma robe de sorcière dernier cri et en quittant la salle commune ne regrettait pas d’avoir ajouté un pull bien chaud dessous. Le temps était des plus glacials dans les couloirs. J’adressais quelques signes de têtes à des connaissances de serpentard et poufsouffle et filait mon chemin. Hors de question de sortir les mains de mes poches avant d’être arrivée à destination dans la grande salle bien au chaud.
Pour une fois que j’avais tout mon temps, j’étais bien décidée à en profiter. Je rejoignis donc à vitesse réduite la grande salle et affamée comme je l’étais commençait à choisir les aliments parmi les délices qu’une fois de plus les elfes nous avaient préparés. Les odeurs étaient des plus enivrantes. Je m’emparais aussitôt de mon jus de citrouille bien meilleur que le jus d’orange traditionnel des moldus, je ne pouvais pas démarrer ma journée sans mon verre de jus de citrouille, la journée serait vraiment des plus horribles sinon même si elle avait déjà très mal démarrée ! Je pu finir de me réveiller tranquillement avant qu’une voix ne me sorte définitivement de ma rêverie ! Un élève de Poufsouffle ou bien d’une autre maison, il ne faudrait maintenant guère de temps pour le savoir ! Vu que je trainais dans la salle le temps de finir mon petit déjeuner, il pouvait s’agir de n’importe qui qui souhaiterait se taper la discussion. Laissant la curiosité gagner la partie, je levais alors mon regard en direction de la personne qui venait de m’adresser la parole et découvrait ainsi mon interlocuteur.
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